L’Agence des Nations Unies pour les migrations (OIM) au Maroc a félicité, jeudi, le Royaume pour son engagement “remarquable” vis-à-vis de la gouvernance de la migration.
Proclamée par l’Organisation des Nations unies le 4 décembre 2000, la journée internationale des migrants commémore l’adoption de la Convention internationale du 18 décembre 1990 sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille.
Le bilan des réalisations et les perspectives d’avenir du projet de “contribution à la réintégration des jeunes et à la lutte contre les violences urbaines au Maroc” a été au centre de la dernière réunion du comité de pilotage du projet, tenue en visioconférence mardi sous l’égide de la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR).
La consécration de l’effectivité des droits humains par le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH), ouvre de larges perspectives en la matière pour une institution placée au cœur de la dynamique réformatrice au Maroc.
Des responsables, des experts et des acteurs locaux et étrangers ont appelé, jeudi à Rabat, à la protection et la promotion des droits de l’Homme dans le sillage de pandémie du coronavirus, à l’occasion de la Journée internationale des droits de l’Homme, célébrée à l’initiative du ministère d’État chargé des Droits de l’Homme et des Relations avec le Parlement.
La présidence du ministère public a organisé, jeudi à Rabat, une rencontre de communication pour le lancement du programme de renforcement des capacités des magistrats du parquet en matière des droits de l’Homme.
Une palette de chercheurs et d’experts s’est penchée, mercredi à Rabat, sur les défis dont fait face actuellement le droit international humanitaire, et ce dans le cadre d’un colloque organisé par le Comité national du droit international humanitaire (CNDIH), en mémoire du défunt bâtonnier Mohamed Mostafa Raissouni.
Ce n’est plus un secret, le système humanitaire international est confronté depuis des années à une crise de fonds aiguë, mais la pandémie de Covid-19 a aggravé encore le sous-financement des agences et autres organisations internationales au moment où le nombre de crises nécessitant une réponse humanitaire ne cesse d’augmenter, notamment à cause du réchauffement climatique, des catastrophes naturelles et des conflits armés.
Le nouveau coronavirus ne s’est pas contenté de dévaster la santé des Hommes, mais il a également sapé leur mode de vie et certaines valeurs fondamentales qui régissaient, jusque-là, la vie au sein des sociétés libres.
Des acteurs institutionnels et de la société civile ont échangé mardi autour des moyens de faire face à la violence basée sur le genre au Maroc et partagé les connaissances sur ce fléau, notamment vis-à-vis des femmes migrantes et les filles en mouvement, lors d’un séminaire tenu en semi-présentiel à Rabat.