Compétition officielle du 14ème Festival du Film de Marrakech : le film néo-zélandais “Everything we loved” ouvre le bal

Compétition officielle du 14ème Festival du Film de Marrakech : le film néo-zélandais “Everything we loved” ouvre le bal

samedi, 6 décembre, 2014 à 20:10

   Envoyés spéciaux..

Marrakech – La compétition officielle de la 14ème édition du Festival international du Film de Marrakech s’est ouverte, samedi, avec la projection du film néo-zélandais “Everything we loved” de son réalisateur Max Currie.

D’emblée le réalisateur transporte le téléspectateur en pleine Nouvelle-Zélande relatant les rebondissantes péripéties de l’histoire d’un magicien timoré, Charlie, qui redonne à son épouse le goût de la vie et du bonheur en lui réservant son meilleur tour de magie.

L’apparition d’un petit garçon, autour duquel le cocon familial qu’ils parviennent alors à créer, avec tout l’amour du monde, est soudain menacé lorsque le couple se retrouve accusé d’enlèvement d’enfant.

Dans cette pellicule de 100’, en anglais avec sous-titrage en arabe et français, le metteur en scène met le téléspectateur devant la dichotomie de la vie et la mort qu’il développe tout au long de son oeuvre.

Avant de se retrouver derrière la caméra, Max Currie était présentateur vedette de la télévision néo-zélandaise avant de se convertir en réalisateur avec un court métrage primé.

Ce diplômé en Sciences politiques de l’université Victoria de Wellington a écrit, depuis 2008, notamment pour la série dramatique très populaire à la télévision néo-zélandaise “Shortland Street”, et plus récemment, pour la comédie dramatique Dave.

Outre “Everything we loved”, quatorze autres films sont en compétition lors de cette 14ème édition du Festival International du Film de Marrakech, à savoir “The blue Elephant” (Egypte) de Marwan Hamed, “Chigasaki Story” (Japon) de Takuya Misawa, “Chrieg” (Suisse) de Simon Jaquemet, “Corrections class” (Russie et Allemagne) d’Ivan Tverdovsky, “The keeping room” (USA) de Daniel Barber, “Labour of Love” (Inde) d’Aditya Vikram Sengupta, “The last hammer blow” (France) d’Alix Delaporte, “Mirage” (Hongrie et Slovaquie) de Sczabolcs Hajdu, “Nabat” (Azerbaïdjan) d’Elchin Musaoglu, “No one’s child” (Serbie) de Vuk Rsumovic, “L’orchestre des aveugles” (Maroc-France) de Mohamed Mouftakir, “Red rose” (France, Grèce, Iran) de Sepideh Farsi, “The Sea fog” (Corée du sud) de Shim Sung-bo et “Things people do” (USA) de Saar Klein.

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